Réponses
I
. Compréhension
1) C'est Ahmed Sefrioui, un écrivain marocain d'expression française. Il est né à Fès en 1915 de parents berbères. Il est séduit depuis son enfance par l'école française qui l'a beaucoup marqué. Il a occupé plusieurs fonctions dans l'administration publique. Son premier roman fut « Le chapelet d'ambre ». il est mort en 2004. « La boîte à merveilles» est son roman autobiographique dans lequel il retrace
le parcours d'une vie simple d'un enfant né dans la médina de Fès. .
2) Ce passage est situé juste après le retour du petit enfant « Sidi Mohammed» du
Msid. C'était un mardi. A la maison, il a trouvé sa maman malade, elle soufrait
d'une migraine. Son amie Lalla Aïcha est venue lui rendre visite.
3) Le narrateur parle d'un «grand jour », car, d'abord il n'irait pas à l'école
coranique où il devait réciter quelques versets de coran, et ensuite, il devait
mettre sa djellaba blanche et partir visiter le sanctuaire de Sidi Ali Boughaleb.
4) Le narrateur et sa mère m'éprouvent pas le même sentiment à l'égard de Lalla Aïcha.
Au narrateur, elle inspire un certain dégoût« son visage lisse et rond m'inspirait un certain dégoût. Je n'aimais pas qu'elle m'embrassât ».
Quant à sa mère, elle aime bien Lalla Aïcha : « une relation comme Lalla Aïcha flattait l'orgueil de ma mère ».
5)
A l'intérieur de la maison
Dans la rue
- elles faisaient trembler les murs...
leurs cordes vocales étaient à toute épreuve.
- Les deux femmes marchaient à tout
petits pas, se penchant l'une sur l'autre
pour se communiquer leurs Impressions
dans un chuchotement.
- elles devenaient aphones et gentiment
minaudières.
6)La description de Lalla Aïcha faite par le narrateur est dévalorisante :
« cette femme plus large que haute, avec une tête reposait directement sur le tronc, des bras courts qui s'agitaient constamment. Son visage m'inspirait un certain dégoût ».
7) Certains termes sont écrits en italique comme djellaba, haïk, mansouria, car ils
sont d'origine arabe.
«l'attendais un bon moment avant de voir surgir de la foule les deux haïks
immaculés ».
il s'agit d'une synecdoque
9) Le champ lexical de la foule: la cohue, un embouteillage, les passants, la foule